2013 - Voeux pour le nouvel an

La musique adoucit les mœurs, dit-on. Et Dieu sait si nous en avons besoin à Bussy.
C’est donc en écoutant "Herr, unser Herscher", issu de la Passion du Christ selon Saint Jean de Bach que je vous écris mes vœux pour cette nouvelle année.

 

L’année qui s’est écoulée a été marquée, encore une fois, par les déboires de la Commune, à la fois dans la presse et au conseil municipal. Notre image, notre crédibilité, est encore entachée par la cause d’un homme, de son équipe et des personnes qui gravitent autour.

Mais, malgré des impôts locaux dispendieux, que nous venons d’acquitter juste avant les fêtes, je reste un éternel optimiste. J’ai engagé des actions à tous les niveaux, politiques et judiciaires. Je ne peux lâcher prise au vu des éléments soulevés par la Chambre Régionale des Comptes et je veux, comme vous, en tirer toutes les conséquences.

Mon optimisme réside dans les atouts exceptionnels de notre ville : nous avons les moyens de sortir de l’ère Rondeau avec des arguments forts. Ceux-ci résident tout d’abord dans le développement économique et l’attractivité de notre territoire au cœur de Marne la Vallée, situé entre le cluster du Val Maubuée et Disney. Une fois passée la problématique handicapante de la fiscalité, même si par défaut elle apporte beaucoup de recettes à la commune (mal utilisées, hélas), nous pouvons miser sur notre capacité à attirer de belles entreprises. Il faut le faire dans le respect des contraintes de notre commune, comme, par exemple, les transports, la circulation et le stationnement.

Mon optimisme réside également dans la  « richesse » de notre commune : à savoir les Buxangeorgiens eux-mêmes. La jeunesse de notre population, son taux d’emploi, son implication dans la ville via les associations (dont je salue les présidents et les bénévoles), sa contribution fiscale. L’attractivité de notre ville passe aussi par son environnement, dont la préservation est un combat constant : ses parcs, ses espaces verts, l’unité encore relative de son architecture, ses commerces de proximité, ses professions libérales fortement présentes, l’excellence de ses écoles, etc.

 

J’aime, tout comme vous, Bussy.

J’y habite depuis 8 ans, ma fille y est née, j’y ai investi. J’aime Bussy et c’est la raison pour laquelle je veux la protéger contre l’urbanisation (Sycomore) et contre la gestion catastrophique qui nous ruinent. Avec autant de richesse financière et sociale, il n’est pas acceptable de se retrouver dans une situation de déficit chronique.

 

Je fais le vœu de retrouver le calme et l’esprit de responsabilité, afin que nous puissions vivre sereinement dans le respect des femmes et des hommes, ceux qui ont et ceux qui ne possèdent rien, ici et dans le reste du monde.

Je vous souhaite d’excellentes fêtes en ce dernier jour de 2012.

Que 2013 vous apporte, à vous-même ainsi qu’à vos proches, santé, bonheur et prospérité.

Comments

[sanctus subitum]

Je prie tous les soirs pour que Monsieur Rondeau trouve la voix de la sainteté budgétaire, que la grâce fiscale l'illumine, que les stigmates comptables le renforcent... Puisqu'il ne peut entrer
à l'UDI, rejeté partout par ces prêtres hypocrites, je propose au pape Benoit XVI de le canoniser immédiatement par sanctus subitum !!!!!!! Lui qui, après enquête de la sainte Inquisition
financière de la CRC, possède toutes les hautes qualités, lui dont le miracle de la multiplication des impôts est connu et admiré de tous les Buxangeorgiens, la sainteté lui est acquise.


J'attends qu'il impose les mains sur moi afin de me laver de mon pouvoir d'achat, biens beaucoup trop matériels. Avec l'évangile selon Hugues, "heureux soient les propriétaires, les contribuables
de Bussy, tes participations paieront mes voyages à l'étranger où je prêche la bonne parole en ton nom, paieront mes avocats car je suis lâchement attaqués par les démons de l'Etat, paieront mes
ordinateurs pour la commune pour que chacun puisse recevoir le pain de ma parole". Sanctus subitum, sanctus subitum (ça y est, j'ai une extase).

[reponse aux grandes gueules]

Je fais réponse aux grandes gueules.Oui je suis d'accord avec vous.


Non il ne faut pas quitter le navire quand il prend l'eau.Il faut être digne de porter le nom d'Homme.Partir devant les problémes,ce n'est pas courageux.Des Grands Hommes nous ont donné l'exemple
en se battant contre l'adversité et en gagnant avec volonté.C'est à nous de faire la même chose.En Mai 2014 il faut virer le grand chef girouette et sa tribu au petit doigt sur la couture du
pantalon.Nous partons droit vers le précipice,il faut montrer que nous ne sommes pas des veaux ou des moutons de Panurge.


J'habite Bussy depuis 17 ans,c'est une ville agréable,ses allèes,ses commerces variés,j'aime Bussy.


Ce n'est pas moi qui partirait,c'est rondeau.Pour cela il faut que tous les mécontents le montrent lors du vote.


Mr Dubosc,merci de continuer à nous informer,le résultat dans les urnes sera clair et sans discussion.

[MDR vs LOL]

Deux hommes intelligents, d'idées opposées, trouveront beaucoup plus de choses à se dire que deux cons appartenant à un même parti, disait Frédéric Dard. Force est
de constater que notre maire n'appartient ni à l'une ni à l'autre de ces catégories.


Bonne année 2013 ;p

[Et au PS ?]

Jeté de partout, Monsieur Rondeau pourrait être tenté par le PS pour une investiture en 2014? Lui qui mène une politique locale aussi désastreuse qu'au national, lui qui a démontré sa capacité de
nuisance en soutenant la droite au sénatoriale et encourageant la gauche aux législatives, personne ne lui en voudrait.


Je vais être un peu cruel avec cette citation mais elle est propice : "Asinus equum spectat", L'âne regarde le cheval. Cherchez qui est qui dans le landerneau...

[Rondeau persona non grata]

Quoi? Qu'entends-je? Qu'ouies-je? Rondeau n'est pas le bienvenu à l'UDI, au PR, à l'UMP ! ça c'est encore un complot politique de l'Etat/EPAMARNE/Ump/Udi/CRC et que sais-je encore. Il n'a plus
qu'à rejoindre ses nouveaux amis du PS et la bloucle sera bouclée. Mais il n'y a plus qu'une poignée de politiques locaux qui le soutiennent et encore, ils ne signent plus de leur nom leurs
interventions dans la presse, c'est dire.


L'ère Rondeau est terminée, vive Bussy !